La surface agricole du Valais ne couvre qu’un cinquième du territoire. Les différents types de productions agricoles se situent dans des régions bien précises du canton.
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Les plaines, les terres riches et la chaleur conviennent mieux aux grandes cultures, alors que les terrains en pente et en altitude vont très bien pour l’élevage.
Les grandes cultures demandent l’utilisation de nombreuses machines et dessinent un paysage de grands damiers.
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Pour produire plus et plus facilement, la manière de cultiver a évolué ou a même parfois disparu dans certaines régions pour se concentrer dans d’autres.
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Les changements dans la manière de cultiver ont fortement modifié les paysages du Valais.
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En Valais, la vigne est principalement cultivée sur les coteaux exposés au sud de la vallée du Rhône.
La qualité des sols, la pente et l’ensoleillement de ces coteaux favorisent la culture de la vigne.
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Chaque paysage agricole a ses caractéristiques et peut se reconnaître assez facilement.
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De nombreux acteurs interviennent dans la filière de la pomme.
Du verger au panier à commissions, une pomme passe par de nombreuses étapes qui forment une filière.
(à la fin du module 2)

Pour calculer le prix d’un produit, on doit tenir compte de beaucoup d’éléments différents.
En faisant évoluer les modes de production, on peut gagner du temps, de l’espace et faire des économies.
(à la fin du module 2)

Le lieu choisi pour la production est souvent situé proche des producteurs mais également des voies de communication afin de faciliter la distribution.
La localisation d’une entreprise a des conséquences sur la distance que parcourt le produit. Un produit peut parcourir de longues distances avant de se retrouver à disposition des consommateurs.
(à la fin du module 2)

Les aménagements et les dispositifs techniques réalisés répondent au choix de production et de distribution.
(à la fin du module 2)

Il n’est pas toujours facile de faire des choix.
En choisissant des produits du commerce équitable, je peux soutenir les producteurs. En choisissant des produits issus de l’agriculture biologique, je peux préserver les ressources naturelles (eau, sol, etc.).

Les produits qui composent notre alimentation ont des provenances variées et plus ou moins éloignées.
(au début du module 3)

On importe des légumes de pays dont le climat est plus chaud que le nôtre. Cela permet de combler la période pendant laquelle ces légumes ne peuvent plus être cultivés en Suisse.
Afin de manger les mêmes légumes toute l’année, on les importe.
On appelle « saison », la période pendant laquelle un fruit ou un légume peut être cultivé et stocké dans des conditions normales.
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La production suisse s’adapte à la consommation lorsque les conditions le permettent. Consommation = production suisse + importations.
Les conditions naturelles (climat, végétation, etc.), culturelles (savoir-faire) et économiques (coûts) influencent la localisation d’une production.
La production doit s’adapter non seulement à l’augmentation de la population mais aussi aux changements d’habitudes alimentaires.
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Une période de production courte peut favoriser l’importation de fruits étrangers. La diversité et l’amélioration des variétés de fruits permettent de favoriser les fruits produits chez nous.
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Tous les consommateurs ne choisissent pas les produits alimentaires pour les mêmes raisons (prix, qualité, provenance, type de production …).
En tant que consommateur, je fais aussi des choix.
Faire venir des produits alimentaires de pays lointains a un impact important sur l’environnement.
Les denrées alimentaires peuvent être locales, régionales, suisses ou étrangères.
En choisissant des produits locaux, je peux diminuer la pollution liée aux transports.
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On ne peut pas toujours travailler là où l’on habite. Si c’est le cas, on est un pendulaire.
Un pendulaire peut changer de quartier, de ville, de région, de canton et même de pays pour se rendre à son travail.
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Les pendulaires, travaillant au même endroit, peuvent se déplacer de manières très différentes en fonction de leur lieu d’habitation.
La distance à vol d’oiseau entre le lieu de domicile et le lieu de travail est inférieure à la distance réellement parcourue.
Le bus, le train et le funiculaire sont des transports publics, tandis que le vélo et la voiture sont des transports privés.
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Suivant la situation de chaque pendulaire, la durée du trajet et le nombre de moyens de transport utilisés peuvent énormément varier. En principe, un enfant se déplace moins longtemps pour se rendre à son école qu’un adulte à son travail, mais dans notre canton, des exceptions à cette règle sont possibles.
Résumé à intercaler

L’autoroute du Valais est un lien très important entre les différentes villes du canton. Elle permet au trafic d’éviter de nombreux villages de la plaine du Rhône.
De nombreux aménagements sont nécessaires pour garantir un réseau routier efficace.
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Le réseau postal valaisan est efficace grâce à plusieurs nœuds importants permettant de relier les villages des coteaux et des vallées latérales à la plaine et aux gares ferroviaires.
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Plusieurs facteurs influencent sur le choix d’un moyen de transport (confort, rapidité, besoins et intérêts personnels...)
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Les déplacements nécessitent des aménagements, du temps, de l’espace, de l’énergie et des véhicules.
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Les villes offrent de nombreux emplois. Beaucoup de personnes s’y rendent le matin et les quittent le soir pour rentrer à leur domicile.
Selon le moment de la journée, le nombre de personnes qui se déplacent pour aller travailler est plus ou moins important, ce qui peut engendrer des embouteillages.
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Certaines personnes s’expriment (positivement ou négativement) en leur propre nom, d’autres défendent un intérêt collectif.
Lors d’un débat, le but n’est pas forcément de convaincre les autres personnes, mais de s’exprimer dans le respect de chacun.
L’aménagement d’une nouvelle voie de communication peut avoir des effets sur l’environnement, l’économie et le social.
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Il n’est pas toujours facile de faire un choix : se déplacer coûte de l’argent mais permet aussi d’en gagner, etc. Chacun se positionne différemment.
Les conséquences de la pendularité ne se voient pas toujours aussi clairement que les embouteillages et l’utilisation de l’espace. Elle a aussi un impact indirect sur le social (coût, emploi, qualité de vie, etc.) et l’économie (aménagements, etc.).
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L’augmentation de la circulation, le passage des camions et les nuisances qui en résultent (danger, pollution, bruit...) nécessitent parfois la construction de nouvelles routes.
Une nouvelle route peut éviter ou contourner une localité. On peut également construire une nouvelle route pour relier deux localités ou deux régions.
Un nouvel aménagement local peut être très important pour toute une région.
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Une autoroute relie les grandes villes d’une région ou d’un canton.
Quand la place manque, une autoroute doit passer par un tunnel ou une tranchée couverte. Une autoroute nécessite la construction de nombreux aménagements.
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Les usagers recherchent des transports publics fréquents, rapides, confortables et faciles d’accès.
Pour permettre à toutes les régions de notre canton à être reliées entre elles, le réseau de transports publics valaisan est très dense et varié.
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Le réseau de transport public du Valais ressemble à une arête de poisson.
En Valais, les réseaux de transport routier et ferroviaire se complète pour permettre aux usagers d’atteindre toutes les régions.
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Pour permettre aux usagers d’utiliser différents moyens de transports, de nombreux aménagements sont nécessaires.
Plus l’agglomération est grande, plus les combinaisons de différents moyens de transport sont nombreux.

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Le réseau ferroviaire doit être régulièrement réaménagé pour rester performant.
Pour réaliser et sécuriser une route passant par un relier très accidenté, les aménagements sont nombreux et souvent impressionnant.
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Les moyens de transports publics ont fortement évolué, devenant de plus en plus rapides.
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En géographie, on appelle un « acteur » toute personne ou groupe de personnes concernés par l’utilisation d’un espace.

Pour choisir une sortie scolaire, on se rend compte qu’on a des idées très variées. Si on doit choisir pour d’autres acteurs que nous, il vaut mieux savoir ce qu’ils attendent d’une sortie. Cela peut être très différent de nous si ce sont des adultes par exemple.

Les activités qu’on a choisies se déroulent toutes dans la nature, à la montagne.

Pour décider du projet, on a dû bien écouter ce que chacun avait à dire pour défendre son idée.

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Dans une vieille ville, on trouve des acteurs qui proviennent de régions plus ou moins proches. Certains la visitent, d’autres y travaillent ou y consomment.

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Les lieux emblématiques de la ville sont situés dans la zone de la vieille ville que l’on reconnaît à ses rues étroites et à ses bâtiments collés les uns aux autres.

Les visiteurs se rendent dans la vieille ville pour ses bâtiments et monuments historiques, pour ses terrasses, son marché, etc. Tout est proche.

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Chaque catégorie d’acteurs profite des aménagements réalisés de manière différente.

Les monuments et bâtiments historiques sont mis en valeur par différents aménagements. Des lieux de rencontre sont créés.

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Les musées sont dans le centre-ville ou dans sa périphérie.

L’architecture du bâtiment, les aménagements extérieurs, la publicité, l’accès facilité favorisent la venue des visiteurs.

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Un musée est occupé par les personnes qui le visitent, celles qui y travaillent ou celles qui y font des recherches.

Les visiteurs n’ont accès qu’à une partie des salles d’un musée. La présentation des collections a changé pour attirer le public. L’accès pour les personnes handicapées doit être facilité.

Avant, les musées n’avaient pas pour but d’attirer le visiteur, mais abritaient principalement des collections destinées aux étudiants et aux scientifiques.

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Pour des raisons historiques et pour faciliter leur gestion et leur visite, tous les musées cantonaux sont regroupés dans la vieille ville de Sion.

En étant situés dans la vieille ville, les musées sont plus difficiles d’accès (rues étroites, zone piétonne, manque de parking)

(Sur une feuille à insérer à la fin du module)